LIB - Normandisation : Jamais 2 sans 3 au Genest St Isle !

Découvrez comment vos choix font votre réussite avec la race Normande : Témoignages croisés de trois élevages
3 élevages voisins de la même commune en Mayenne ont opté simultanément pour un passage en Normande, dont les qualités correspondent à leurs attentes. Avec la génétique et l’accompagnement de EVOLUTION, ils sont confortés dans leur choix et la réussite de leur projet d’éleveurs.
LE TRIPLÉ GAGNANT : ABSORPTION, EMBRYONS, SEMENCE SEXÉE au GAEC DE LA GAUTONNAIS
Gaec de la Gautonnais :
- 75 VL
- Référence : 435 000 L
- 110 ha
- Atelier bœufs
Les outils de valorisation EVOLUTION :
- Embryons
- Absorption
- Semence sexée
Didier et Patrick MARGALE, à l’origine éleveurs 100 % Normande, ont repris en 2004 un troupeau Prim’Holstein. Cependant les frères subissent bon nombre de soucis de santé, d’aplombs… Ils essayent alors d’investir en Montbéliarde mais en sont déçus en TP et en tempérament.
Stratégies gagnantes avec la NormandeLIB : embryons, absorption, semence sexée
Ils prennent alors la décision de normandiser le troupeau. Pour cela, ils optent pour plusieurs stratégies : la première en 2014 a été d’investir en embryons Optimal pour améliorer la génétique du troupeau. Grâce aux contrats EVOLUTION, une femelle étant née d’embryon Optimal est repartie chez son propriétaire et le GAEC a donc reçu en compensation 5 embryons Optimal offerts.
La seconde stratégie a été de croiser toutes les Holsteins en Normands. Une option payante puisque les associés sont très satisfaits des premières femelles en lactation. Enfin, la troisième est de privilégier la semence sexée sur toutes les génisses Normandes ainsi que les femelles croisées.
Robustesse, tempérament, valorisation lait et viande
Pour Didier et Patrick MARGALE, la Normande, c’est la facilité. Une vache calme, facile à élever, avec peu de soucis de santé mamelle et de retournement de caillette. Leur vétérinaire reconnaît même que les Normandes sont bien plus robustes que les Prim’Holsteins. Les éleveurs ajoutent qu’« elles ont de bon taux et avec la conjoncture actuelle : ça paraît ! ». Cette race leur permet également de mieux valoriser leurs bœufs.
Pour leur neveu Florian, passionné de Normandes, ils trouvent qu’elles ont une belle robe, qu’elles sont plus calmes et qu’elles sont toujours en « état »… Mais aussi que les réformes sont mieux valorisées et que les Normandes vieillissent bien.
Et Patrick de conclure : « la Normande c’est l’Avenir ! »
LIB au GAEC MONDEMAULT : SOLIDITÉ DES MEMBRES, SANTÉ ET PLUS VALUES
GAEC Mondemault
- 70 VL (dont 30 Normandes)
- Référence : 593 000 litres
- 70 ha
Les outils de valorisation EVOLUTION :
- Absorption
- Génétique
Guillaume est installé depuis 2 ans avec un troupeau mixte Holstein - Normande, et a investi dans un complexe laitier neuf. Avec ce nouveau bâtiment, les associés ont traversé des difficultés importantes avec les Prim’Holsteins qui avaient du mal à tenir « debout » sur le béton, avec des impacts importants en pertes et réformes prématurées.
« Le vétérinaire ne venait jamais pour les Normandes »
En se rendant compte que le vétérinaire ne venait jamais pour les Normandes, il a décidé de normandiser son troupeau, avec l’appui de son inséminateur, Valentin DAHIER et de sa technicienne EVOLUTION, Pauline HEREL. 2 stratégies ont été adoptées : du croisement d’absorption sur une partie de ses Prim’Holsteins et inséminer en semence sexées uniquement les génisses Normandes. Côté génétique, le choix s’est porté sur une orientation QUALILIB afin de marquer les plus-values Normandes que sont les taux et la musculature.
En bref, le choix de la Normande pour Guillaume s’est fait pour ses plus-values mais aussi et surtout pour la solidité de ses aplombs.
LIB chez Yohann CHERVILLÉ : TAUX ET TRANQUILITÉ
Yohann Chervillé
- 50 VL (dont 20 Normandes)
- Référence : 360 000 litres
- 60 ha
Les outils de valorisation EVOLUTION :
- Synergie Normande
D’abord pour améliorer les taux
Yohann avait un troupeau 100% Holstein. Mais avec de nombreux problèmes de cellules et un manque de taux important, il a commencé à se poser des questions.
C’est en discutant avec Patrick MARGALE du GAEC DE LA GAUTONNAIS, son beau-frère, qu’il s’est rendu compte qu’il y avait peu d’écarts en production entre les 2 races… Et c’est finalement lors de sa visite à la foire de la Madeleine, à Mayenne en juillet 2016, qu’il prend sa décision, en observant les taux sur les pancartes des vaches présentes.
Un achat réussi de 20 vaches et 5 génissons
Il a donc acheté une vingtaine de vaches Normandes en août, ainsi que 5 petites génisses. « Elles se sont bien maintenues en lait, bien adaptées à la traite et au bâtiment. J’ai constaté très nettement que les vaches étaient plus calmes, et qu’on pouvait les approcher facilement dans les champs. »
« Rien à dire, elles sont agréables à mener et à travailler. Ce n’est pas la race la plus compliquée à s’adapter aussi bien au parcellaire qu’au bâtiment. J’ai même remarqué que c’étaient toujours les premières à sortir pour aller pâturer ! »
LES SOLUTIONS EVOLUTION :
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